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Louison Rozier

Louison Rozier
Date d'inscription : 30/01/2019
Messages : 82
Naissance : 7 Mai 1998 à Paris
Mort : 26 Décembre 2018, overdose
moi et l'amour : Hétérosexuelle
Occupation : J'étais étudiante, et le violon était ma seule passion.
Ici je vais être musicothérapeute
Avatar : Chloé Moretz (avatar : Evy)
je suis toujours là quand on a besoin de moi




Louison Rozier
je suis toujours là quand on a besoin de moi
Mer 30 Jan - 17:56
Louison Rozier
personnage inventé
Nom. Rozier
Prénoms. Louison Jeanne Élise
Naissance. le 07/05/1998 à Paris (France).
Décès. le 26/12/2018 à Paris (France) à l'âge de 20 ans.
Cause de la Mort.Overdose, un mélange entre les médicaments et l'alcool , un suicide..
Métier sur Terre. Etudiante.
Métier à Losttown. X rends toi ici.
Statut sur Terre.célibataire et brisée.
Statut à Losttown. célibataire.
Orientation Sexuelle. Hétérosexuelle.
Date d'arrivé à Losttown.Maintenant, je viens d'arriver.


en savoir plus

Passionnée de violon, je ne sortais que rarement sans mon intrument, ceci dit je ne me passe jamais de mon casque, il est rare de me voir sans musique Depuis l'incident j'ai peur du noir, une phobie très handicapante, j'ai toujours une mini lampe torchante sur mes clefs pour ne jamais me retrouver dans le noir . Je porte des lunettes, parfois, quand j'ai mal à la tête surtout car je suis sensible aux migraines. Comptine d'un autre été, le passage de l'après midi est mon morceau favori. Je l'aime peut m'importe l'instrument cette mélodie me met des frissons dans le dos et arrive à me procurer des émotions très fortes. Être le plus discrète possible est dans ma nature, je n'aime pas être l'objet de l'attention, je prefere m'habiller passe partout pour éviter de me faire remarquer, je suis souvent invisible aux yeux des gens..

derrière l'écran

Pseudo. coco Prénom. Coraline  Âge. 25 ans + 2 Smile Pays.France. Fréquence de connexion. Normalement je viens tout les jours, après peut être un peu moins si je suis en formation mais au moins 3 fois la semaine minimum. Avatar. Chloé Moretz. Groupe. les Jaunes Autres Comptes.Non pas encore Wink
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Louison Rozier
Date d'inscription : 30/01/2019
Messages : 82
Naissance : 7 Mai 1998 à Paris
Mort : 26 Décembre 2018, overdose
moi et l'amour : Hétérosexuelle
Occupation : J'étais étudiante, et le violon était ma seule passion.
Ici je vais être musicothérapeute
Avatar : Chloé Moretz (avatar : Evy)
je suis toujours là quand on a besoin de moi




Louison Rozier
je suis toujours là quand on a besoin de moi
Mer 30 Jan - 17:57
C'est l'histoire de ma vie
il faut attendre la mort pour bien juger la vie


7 mai 1998 :

Jour de ma naissance, ce jour-là, je suis venue agrandir la famille. Julien et Cécile Rozier, mes parents étaient déjà ensemble depuis cinq ans et déjà marié, celui-ci avait demander la main de ma mère en apprenant la grossesse de ma mère cinq ans plutôt, juste avant la naissance de mon frère Hugo.
Cécile, ma mère, était professeur de clarinette et mon père Julien était directeur du conservatoire de Paris. Ils ont toujours aimé la musique, c’est dans nos gènes. Nous ne pouvions pas y échapper. Nous avons toujours baigné dedans que ce soit avec nos parents, les amis de nos parents, et même notre famille, nos oncles et tantes et nos grands-parents d’ailleurs mon grand père paternel, Papito était lui aussi directeur d’un conservatoire, et ma Mamita, sa femme était directrice d’un théâtre parisien.
Quant au côté de ma mère, il n’était pas assez riche pour avoir leur propre instrument, mais ma grand mère chantait et mon grand père jouait de l’harmonica, qu’il avait reçu en héritage de son propre père.
En gros j’ai toujours été dans la musique, dès toute petite si je n’étais pas dans les coulisses des auditions, j’étais dans la salle, ou encore dans une loge. Je n’ai jamais vraiment quitté le conservatoire ceci dit. J’ai commencé les cours d’éveil musical très tôt, il faut dire que ma mère m’emmenait toujours avec elle. Elle n’a jamais arrêté son boulot pour nous, ni mon père, le travail, c’était tout pour eux, mais nous n’avions jamais manqué d’amour.


Septembre 2003 :

Cinq ans et le début du conservatoire, enfin j’allais ouvrir être ici en tant qu’élève et apprendre pouvoir, touché sentir et jouer d’un instrument. La découverte de la musique était tout d’abord un éveil au sens, et on apprenait le rythme et tout plein de choses simples mais importantes dans le cours nommé « Éveil musical ».
Je n’ai jamais quitté le conservatoire depuis. Entre les cours d’éveil, puis les cours de solfège, puis les horaires aménages en plus des cours particuliers, tout s’enchaînait et j’apprenais la musique, ma passion, le violon et le violoncelle furent mes instruments de prédilection, mais je tentais aussi un peu de guitare et de piano, en fait, j’étais une touche-à-tout . J’adorais la sensation d’un instrument qui prenait vie sous mes doigts encore lus celui des cordes qui vibraient lorsque je passais mon archer dessus. Le conservatoire était ma vie, ma deuxième maison.
Et jamais je ne le regretterais, d’avoir passé autant de temps ici.

Septembre 2009 :

Entrée au collège et moment un peu étrange. Je me sentais un peu étrangère de tous ses gens et en même temps proche d’eux. Je n’étais pas populaire, ni une des « victimes » j’étais une fille qui passait et disait bonjour à tout le monde, apprécié de tous sans vraiment faire parti de leur bande, sans vraiment qu’ils me connaissent ou me parlent. Un peu invisible pour certain, mais jamais mal vu. J’avais eux un peu de mal à m’adapter, mais ensuite tout alla très vite.

Ma voisine, que je n’avais jamais remarquée, jusque-là, était dans ma classe. Nous étions totalement différentes, mais le contact passa très vite entre nous et nous nous étions comme trouvé, deux âmes n’en formant qu’une. Elle était sportive et moi tout le contraire. Elle aimait la danse et ce fut notre terrain d’entente, elle faisait du classique, du moderne, et du contemporain. Nous sommes devenues les meilleures amies du monde lorsque je me mis à l’accompagner au violon sur ses chorégraphies. Du coup, elle dansait et je jouais, nous formions un super duo.
Elle faisait partie des filles populaires, et moi, j’étais un peu la fille que tout le monde appréciait, mais de loin, cela ne nous empêchait pas de passer du temps ensemble et de nous amuser. Elle avait des tas d’amis, mais nous n’avions que nous, elle et moi, qui nous connaissions réellement, moi, je n’avais qu’elle en véritable amie. Je savais que je pourrais toujours compter sur elle. Elle ne me laissa jamais tomber, nous avions fait toutes nos classes ensemble.

Lorsque le lycée arriva, nous nous sommes retrouvé ensemble, dans un lycée qui faisait des cours en commun avec le conservatoire, et nous avions pu du coup danser pour elle et jouer pour moi. Nous avions eu une scolarité heureuse et sans embûche. Et nous avions toujours été ensemble.

Juin 2016 :

Dix-huit ans, l’âge de la majorité, du permis, des fois,. Mon enfance avait passé à une vitesse folle. J’avais eu une enfance heureuse et pleine d’amour, même si mes parents étaient bien trop peu présents et un peu trop tourné vers leur passion pour la musique au point parfois d’oublier leurs enfants. Les autres ne comprenaient pas trop que je pouvais passer ma vie au conservatoire mes amis encore moins, enfin le peu d’ami que j’avais, mais ils l’acceptaient. Je passais mon temps entre la musique et la musique, que ce soit à étudier, à jouer, et même à faire du bénévolat à l’hôpital pour les patients, et même donner des cours à des enfants. J’adorais cela.

J’étais en soirée avec ma meilleure amie. Elle avait réussi à me traîner là-bas. Je n’étais pas fan de ce genre d’endroit, bien trop envahi de fumé, d’hommes alcoolisé et de femmes un peu trop dénudées. Elle y retrouva son chéri ainsi que le mien. Même si j’étais un cas désespéré. Justin était un garçon merveilleux, serviable et adorable. Il était un peu alcoolisé ceci dit. Nous passions une bonne soirée puis nous décidions de rentrer tous ensemble.

Nous avions d’abord déposé ma meilleure amie et son copain chez elle. Puis Justin me proposa de faire un petit détour, je n’étais pas tellement pour, mais il voulait me montrer où il habitait. C’est vrai que je n’étais pas une petite amie parfaite et en deux mois de relation nous ne nous étions vu que dans des cafés ou dans des endroits publics. Nous arrivions devant la maison un peu délabrée, je ne savais pas ce que faisaient les parents de Justin dans la vie, et je m’apprêtais à retourner chez moi lorsqu’il me prit la main. Il s’approcha et m’embrassa. Il me proposa d’entrer, il était un peu trop insistant. Je n’étais pas très rassuré, mais acceptai. Mais dès que la porte se referma, je me retrouvais pris au piège.

Un traquenard, il y avait une bande d’amis. Il alla saluer un homme et plusieurs autres était dans le salon. Je tâchais de rester tranquille sans trop de stress. Mais l’angoisse s’empara de moi. L’homme qu’il venait de saluer était grand, bien plus vieux que mon soit disant petit ami. Je l’entendis lui dire que j’étais une bonne fille et que je ne dirais rien à personne. Je ne savais pas de quoi il parlait, mais mon cœur s’accéléra, et la panique se fit ressentir.
Je tentais de prendre mon téléphone portable, mais un homme qui était le plus près de moi le prit et me fit un signe de négation de la tête, je lui demandais dans un murmure de m'aider, mais il n'en fit rien... Mise à part Justin et l’homme qu’il avait salué, personne n’avait parlé.
Il était quatre en tout dans la pièce et je me sentais mal. J’avais peur, très peur. Et ma crainte n’était pas sans raison. Je vis l’homme, le dénommé Zeke, s’approcher et m’attraper le visage violemment. Il se pencha vers moi m’embrassa de force et alors que je voulais me délivrer son emprise me chuchota à l’oreille. « Tu n’es qu’une pauvre petite chose, seule, on est quatre, et sans défense, tu ne peux pas crier, personne t’entendrait et je ferais du mal à ton joli visage, alors, tais toi et ne dis jamais rien à personne de ce qu’il va se passer, sinon je te retrouverais, et ce sera ta fête, compris ? Tu seras à moi ce soir. ». Et sans aucun regret, ce soir-là, il me prit la chose la plus précieuse que j’avais, ma virginité, il venait de me briser à jamais.

Sa voix raisonnait dans ma tête, je ne savais même pas comment j’étais rentré chez moi. Je m’étais couché habillé, enfin avec le peu de vêtement qu'on m'avait remis. Je ne pouvais fermer les yeux de peur que ce cauchemar recommence. Le lendemain, ma mère me cria de me lever, mais ma porte étant fermée, je n’avais pas la force de me glisser pour lui ouvrir. Je n’avais pas eu le choix de sortir de ma tanière et d’affronter la vie. Si je disais quelques choses à quelqu’un, il me retrouverait. Mais je n’avais pas eu besoin de dire quoi que ce soit.
Le jour de mon retour à l’université, surtout les murs étaient placardé des photos de moi, prises cette nuit-là. Bizarrement, je ne revis plus Justin. À ce moment précis, ma vie fut ruinée. Mes amies ne me regardaient même plus. J’étais seule… Je m’enfermais dans ma chambre dans le but de ne jamais en ressortir. Je ne pouvais plus jouer, je n’étais plus heureuse, je n’étais plus moi. Je n’avais plus envie de rien. Mes parents ne comprenaient pas pourtant, ils avaient eu les photos devant eux aussi par la suite, car l’université les avait convoqués. Mais mon père voulait à tout prix que je reprenne le violon et que je me reprenne pour l’honneur de la famille, disait-il, et ma mère n’avait qu’un seul but la thérapie, elle me forçait à voir des psychiatres à avaler des médicaments qui me permettraient selon elle d’aller mieux. Mais je n’allais pas mieux.
Je changeais de fac et m’éloignai le plus possible de ces hommes affreux, je ne voulais pas qu’ils me retrouvent un jour et recommencent ce qu’ils m’avaient fait..


Septembre 2017 :


Je pris donc la direction du sud, Marseille, où j’avais décidé de m’inscrire en étude d’histoire, honte à moi et sur ma famille selon mon père, mais je n’avais pas touché un violon depuis des mois et je ne comptais pas vivre de nouveau, pas sourire, je n’avais plus l’envie, plus la force de ça, de faire semblant que rien ne m’était arrivé et que tout allait bien.
Je n’allais pas bien, j’étais brisé, sale, totalement ruiné. Je passais plus d’un an à tenter de sourire, de vivre, mais c’était bien trop dur, quoi que ce n’était pas le même calvaire que Paris. Ici au moins ils n’étaient pas dans la même ville que moi. Je n’acceptais pas le contact physique. Je n’avais pas d’amis, et je m’en satisfaisais. Les gens me prenaient plus pour une acharnée de travail qu’autre chose.

26 Décembre 2018 :

Je n’eu pas d’autre choix que de rentrer ce Noël là. Mon grand-père était mort quelques mois avant, je n’étais même pas venu dire au revoir à Papito. La famille était une chose très importante selon elle. Surtout, que mon père était parti dans un autre pays avec une perruche de service et qu’elle était dévasté. Je me devais de rentrer la voir elle et mon frère qui ferait le déplacement ce Noël.

Mais malheureusement cela ne se passa pas comme prévu. Je revenais du cimetière où j’avais enfin pu dire au revoir à Papito dignement. Je lui avais tout avoué, la raison de mon absence les derniers mois de sa vie et le jour de son enterrement. Parler à un mort et vos secrets ne seraient pas révélés. En sortant de là, je croisais mon ex petit ami de l’époque qui tentait de venir savoir pourquoi j’étais parti, qu’avait-il fait de mal osa-t-il me demander. Je ne répondis pas et fonçai à la maison.

Une fois enfermé dans ma chambre, je me mis à pleurer. Je m'effondrais. J’aperçus mon violon au pied de mon lit. Visiblement, ma mère voulait que je reprenne cet instrument qui m’avait rendu heureuse pendant tellement d’années. Je jouais ce soir-là. Après avoir écrit un petit mot glissé dans la pochette de mon étui. Je jouais, Lettre à Élise, La valse d’Amélie Poulain, Comptine d’un autre été.. Tous les morceaux tristes que je connaissais et aussi ceux qui me tenais à cœur.. Mais ce soir-là après avoir bu une grande dose d’alcool et pris des médicaments, je m’endormis pour ne jamais me réveiller.
J’avais 20 ans et je venais de mettre fin à mes jours..

Arrivée ici, dans un endroit totalement inconnu...

Mais ce bruit, cette odeur.. J’ouvris les yeux et me retrouvais assise dans un métro.. Je ne comprenais pas ce que je faisais là. Comment j’avais pu arriver ici ? Je m’étais pourtant donné la mort ? Avais-je réussi ? Je ne savais pas quel jour, on était, ni où j’étais et si j’étais bien morte, mais je venais sans le savoir de débarquer dans un autre monde…


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Aeryn Crichton
Date d'inscription : 30/01/2019
Messages : 41
Naissance : Américaine / 37 ans
Mort : 37 ans accident de laboratoire en Russie
moi et l'amour : Hétéro, fiancée
Occupation : Travaillais en laboratoire pour Militaire
Brumeuse
Avatar : Gigi Edgley
j'ai tendance à m'énerver assez vite




Aeryn Crichton
j'ai tendance à m'énerver assez vite
Mer 30 Jan - 18:16
Bienvenue parmi nous.
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Louison Rozier
Date d'inscription : 30/01/2019
Messages : 82
Naissance : 7 Mai 1998 à Paris
Mort : 26 Décembre 2018, overdose
moi et l'amour : Hétérosexuelle
Occupation : J'étais étudiante, et le violon était ma seule passion.
Ici je vais être musicothérapeute
Avatar : Chloé Moretz (avatar : Evy)
je suis toujours là quand on a besoin de moi




Louison Rozier
je suis toujours là quand on a besoin de moi
Mer 30 Jan - 18:19
Merci Smile j'ai trop hate de jouer Smile
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Sezni Madilim
Date d'inscription : 07/01/2019
Messages : 123
Avatar : Morgan Freeman
fait par Rusty Nail.
le grand sage




Sezni Madilim
le grand sage
Mer 30 Jan - 19:36
Félicitation louison
te voilà prisonnier à losttown
Je connais déjà ton histoire et je l'adore j'ai hâte de jouer avec toi j'ai tout pleins d'idées. Encore pardon de ne pas t'avoir souhaité la bienvenue comme il se doit et surtout pardon pour l'attente Louison Rozier 676560062

Te voilà valider et colorer, tu peux dès à présent aller à ta guise sur le forum et découvrir les secrets que cache Losttown ! Cependant, afin de ne pas te lâcher comme ça, je vais te donner quelques liens bien utiles. Je ne vais pas te dire d'aller lire le règlement et les annexes, car je suis sûre que tu l'as déjà fait. Etre validé c'est bien, mais si tu veux faire partie de l'aventure et être considéré comme membre actif, il te faudra aller recenser ton métier même si tu as demandé que je te l'impose et surtout demander ton petit logement.

Je sais que toi, tu as surtout envie de t'amuser, mais avant il te faut des amis, des connaissances, donc à ta place, j'irais créer ta fiche de liens, un modèle est disponible, mais tu n'es pas obligé de le prendre. D'ailleurs il se peut que tu ais besoin de personnes particulière, comme ton ancien amant qui s'est suicidé, ton grand père mort au combat ou encore une autre personne qui a perdu la vie... Pas de soucis, tu n'as qu'à aller créer un scénario ou juste un petit lien! Après si l'envie de RP est présente je t'invite aussi à aller dans ce sujet. Tu pourras peut-être trouver des personnes qui ont besoin d'un partenaire ou tu peux aussi en demander un ! Sinon je te recommande vivement le flood où l'on s'amuse comme des petits fous & de passer sur la ChatBox pour rigoler un petit peu ! Sinon pour toutes tes demandes, de lieux, de rang c'est dans la partie démarches administratives qui faut aller. Surtout, n'ais pas peur de faire le petit curieux et va voir un peu partout dans le forum. Car je ne vais pas tout te dire non plus, c'est à toi de découvrir certaines choses par toi même ! Mais bon si jamais tu as des questions ou des demandes fais moi signe.
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